Et voilà ma troisième chronique pour aujourd'hui !
Mon avis :
On retrouve Taylor, Sienna, Jack, Andrea et Lionel dans ce nouvel épisode. Dans celui-ci, Dorian maîtrise un peu plus son univers, je dirais. Le rythme est toujours effréné, avec juste ce qu'il faut de détails et de descriptions pour ne pas perdre le lecteur. A nouveau, on en apprend plus sur le passé des personnages à travers les événements qui croisent leur chemin. On découvre ainsi que Taylor chante — et plutôt bien —, mais aussi que Lionel possède une autre raison que la jeune femme d'avoir quitté New York pour San Francisco. Jake confronte Taylor sur les événements de l'épisode précédent... la relation entre Sienna et Taylor s'approfondit et se concrétise. Cet épisode fait directement suite au précédent, comme une série TV, comme l'annonce la 4ème de couverture. Une fois qu'on s'est bien mis cela dans la tête, le côté court et rapide de l'histoire choque moins. Car si on se rappelle les séries TV américaines, chaque intrigue d'épisode se résout dans celui-ci, assez rapidement... reste maintenant à déceler l'intrigue de la "saison" si je puis dire. Pour l'instant, on ne suit que Taylor dans ses aventures et ses déboires... mais on devine déjà, ou peut-être n'est-ce que moi, que l'entité qui s'invite dans son corps fera office de "boss de fin", si je puis dire. En attendant, j'ai hâte de voir comment les personnages vont évoluer les uns avec les autres. Il y a une dynamique intéressante entre eux tous, notamment ce que j'ai cités au début de ma chronique. Il existe une tension née des secrets et des mystères que chacun porte en soit, et je suis persuadée que Dorian nous en cache encore. Si ces secrets risquent de les séparer, j'espère qu'ils sauront se pardonner pour vaincre, à la manière d'un bon Scooby-Gang (celui de Buffy, pas celui de Scooby-Doo xD)... mais rien n'en est moins sûr, si on se fie à la ligne éditoriale de Noir d'Absinthe... et ce n'est pas plus mal ! J'ai hâte de voir ce que va donner le tome 3... et savoir ce qu'il advient de Lionel, avec ce beau cliffhanger ! Et c'est tout pour aujourd'hui ! Bonne journée ^^ Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~
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Comme promis, je continue !
Mon avis :
J'ai à nouveau passé un agréable moment entre les pages écrites par Dorian. On le retrouve ici avec de l'urban-fantasy, de la witch-lit, sur un format assez court, mais qui n'enlève rien à la qualité. Ce premier épisode est un page-turner, grâce à une narration fluide et percutante qui ne s'encombre pas de détails superflus. Dorian — et Taylor — va droit au but, sans se perdre dans des circonvolutions qui perdrait le lecteur. Un peu comme pour ma précédente chronique, je dirais que certains descriptions m'ont fait un peu tiquer, notamment le premier paragraphe, qui m'a un peu fait penser à ce qu'on trouve parfois sur Wattpad quand les auteurs décrivent leur héroïne... mais les autres descriptions sont bien mieux insérées dans le récit, suivent le "show, don't tell" contrairement à ce premier paragraphe. J'aurais aimé aussi un peu plus de tensions, que toute la partie "éventreur" dure un peu plus, avec une montée en puissance du suspens et de la crainte... mais au final, elle est bouclée assez rapidement. C'est dommage parce que ça aurait sûrement conduit à des situations intéressantes, notamment entre les personnages. D'ailleurs, si l'intrigue reste assez banale pour ce genre de romans/novellas, elle permet d'apprendre à connaître et de découvrir les personnages. Ceux-ci sont le point fort du récit, à mon avis. Ils sont efficaces, sonnent vrai, avec leurs qualités, leurs défauts, leurs angoisses. Leurs blessures et leur passé, également. Un passé qu'on découvre petit à petit à travers les interactions entre les personnages, et les épreuves posées sur leur chemin... et j'ai hâte d'en apprendre plus sur chacun d'eux ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Die with Style" de Dorian Lake ! Et c'est tout pour aujourd'hui ! Bonne journée ^^ Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Une nouvelle petite fournée aujourd'hui, avec trois livres écrits par des amis ! Les prochains le seront aussi... parce que j'ai décidé de les lire en priorité à mesure que je fais diminuer ma PAL !
Mon avis :
Comme il est noté sur la 4ème de couverture, ce roman est destiné à un public averti. Il n'est pas à mettre entre toutes les mains, Manon ne dissimulant pas la violence, qu'elle soit physique ou psychologique. J'ai retrouvé avec plaisir dans Bratva la plume sombre de Manon, même si je l'ai trouvée moins poétique que dans les Légendes Faës. Le contexte de Bratva veut certainement ça aussi : nous ne sommes plus dans la fantasy, mais au sein de la mafia russe. Peut-être aurais-je aimé que les tortures de Rayna soient un peu plus poétiques, oui, comme elle les considère comme son art, ses oeuvres... C'est d'ailleurs peut-être la seule chose que je reproche à Bratva : ses descriptions. La description de Rayna au début m'a fait un peu tiquer, elle fait assez peu naturelle... Peut-être est-ce dû au fait que Rayna se décrit, ainsi que ce qu'elle porte, le tout à la première personne... mais ce n'est qu'un petit détail. Les deux protagonistes nous emportent dans leur histoire sombre et malsaine. Il ne faut pas y chercher une jolie petite histoire où tout se déroule bien, à part la petite dispute et les quelques complications qu'on retrouve dans les romances. Non, Rayna et Eleyna ne font pas partie des gentils. Et on trouve là toute la beauté de leur relation, que je trouve presque plus naturelle que celle que l'on trouve dans les autres romances, crue, difficile, brisée, mais d'une certaine façon plus vraie. Moins artificielle que celles qu'on nous sert habituellement. Cette histoire reste celle de Rayna et d'Eleyna, plus qu'une autre. On goûte à la vengeance et à la guerre entre différents clans de la mafia... mais au final, tout tourne autour d'elles. Jusqu'à la fin, même. Une fin surprenante, plus qu'ouverte, qui donne envie de savoir ce qui arrive à Rayna... mais d'un autre côté, est-ce que ça n'enlèverait pas du charme à l'histoire de le savoir? Est-ce que ça n'enlèverait pas à la tension continue que l'on trouve dans le roman, de donner une réponse? Au final, cette fin correspond bien à la montée en émotion, en adrénaline, menée du début à la fin, le climax du page turner. Pour finir, je dirais que Manon signe là un autre très bon roman. On sent que sa plume a encore mûri, après les Légendes et Nechtaàn. Peut-être même le meilleur des siens que j'ai eu l'occasion de lire (il me manque juste le dernier tome des Légendes). Ce genre va si bien à Manon, j'espère qu'elle l'explorera à nouveau dans le futur ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "L'éventreur de San Francisco" de Dorian Lake ! Et c'est tout pour aujourd'hui ! Bonne journée ^^ Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Re-bonjour ! Comme promis, j'enchaîne avec le tome 2 !
Mon avis :
J'ai poursuivi l'aventure à peine le tome 1 achevé, sans regrets ! Si pour moi, seules quelques heures s'étaient écoulées, pour Isulka et Scipione, un an avait passé depuis leurs aventures en Egypte. Fidèles à eux-mêmes, ils s'étaient éloignés — surtout fidèlement à Isulka, qu'on se le dise ! Mais bien évidemment, le destin n'allait pas les laisser seuls dans leur coin ! J'ai adoré "retrouver" (je ne l'avais pas quittée depuis bien longtemps !) Isulka et sa façon d'évoluer avec les autres personnages. Ce tome souligne un peu plus ce qui m'avait déjà titillée dans le premier : ses relations avec d'autres femmes sont bien plus intéressantes que celles avec les hommes. Elles portent un message de force, de sensibilité, de puissance, de fragilité. La Vieille Alliance, et La Pierre d'Isis aussi mais dans une mesure un peu moindre, met en avant cette facette du féminisme qui est parfois oubliée : des femmes qui se soutiennent, se portent vers le haut, apprennent l'une de l'autre, plutôt que de se combattre, se rabaisser et de dénigrer. Oh, ça n'empêche pas Isulka de se venger de l'une des demoiselles qui l'accompagnent, mais j'ai aimé que Dorian amène cela aussi, dans ses écrits. Et qu'il l'ai fait avec délicatesse, finesse (oserai-je dire "doigté" ? *sort*), sans nous le jeter à la figure. Scipione est un peu plus en retrait, par rapport au tome 1, mais ses sentiments sont néanmoins approfondis, tout en subtilité. Enfin, "subtilité", je me comprends. Disons que Dorian suggère par les réactions de son personnage, plus que par les monologues intérieurs où les choses seraient écrites noir sur blanc. Il montre, sans nous dire vraiment. J'ai un peu peur que le pauvre Scipione ne se fasse malmener encore plus par la suite... et que, finalement, sa vendetta et son retour à Venise n'aient plus la même saveur qu'avant sa rencontre avec Isulka.. Dans ce second tome, j'ai également trouvé l'intrigue plus recherchée, plus approfondie. Moins facile. Le rythme est toujours effréné, la preuve étant la vitesse à laquelle j'ai avalé les pages, encore une fois. Il y a quelques moments de pause malgré tout, pour souffler un peu, donner de la perspective à tout ce qu'il s'est passé, tout ce que ça implique, et les portes que ça ouvre. J'ai aimé chacune des scènes d'Isulka avec Dresilla... et j'ai grand espoir que, contrairement à Ankhfareh, cette dernière reste un peu plus longtemps dans l'entourage de la mageresse. Si ce n'était pas le cas, je n'en voudrais bien évidemment pas à Dorian... après tout, Isulka est faite pour ne pas s'attacher sur le long terme... et ça fait du bien d'avoir une héroïne qui n'a pas besoin d'une autre personne pour être complète. L'univers s'enrichit également, toujours sur cette facette magique et mythologique. Ce n'est d'ailleurs pas pour me déplaire ! Je me demande si, après l'Egypte et l'Ecosse et leurs propres sources de magie, Dorian va nous montrer, pour le prochain (il y aura bien un troisième tome, hein ? rassurez-moi !), les origines de la magie d'Isulka. Car elle ne ressemble pas à l'égyptienne, ni à l'écossaise... et, peut-être que je me trompe, mais je doute que ses flammes ne soient pas liées à une autre mythologie... que chaque tome explore les mythes d'un pays, sans que la magie de l'héroïne ne soit liée à ceux d'un autre... je ne sais pas, ça me semblerait un peu étrange et... dommage ! J'ai peut-être un coeur plus mou que ce que je ne veux bien l'avouer, d'avoir envie qu'Isulka trouve enfin une "maison", un lieu où elle sera accueillie et aimée telle qu'elle est, plutôt que de faire des tours pour les endormis du cabaret ! Encore une fois, ce fut un excellent moment passé avec Isulka et ses compagnons. Il me darde de découvrir la suite de leurs aventures...! En attendant, je pourrais toujours me consoler avec Hex ^^ Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Bratva" de Manon Elisabeth d'Ombremont ! Et c'est tout pour aujourd'hui ! Bon dimanche ^^ Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Aujourd'hui je vais vous parler d'Isulka ! D'abord le premier tome, et la chronique pour le second arrivera juste après, parce que j'ai lu les deux l'un derrière l'autre ! Deux très bons romans, qui se dévorent trop vite =P
Mon avis :
Ça fait un moment que je connais Dorian, depuis Wattpad, puis sur Facebook, et un moment que Isulka me faisait de l'oeil. Grâce à un concours organisé par les éditions Noir d'Absinthe, j'ai reçu les deux tomes déjà parus d'Isulka... et nous y voilà ! Que dire de ce premier tome, à part que je l'ai dévoré aussi vite que j'ai pu compte-tenu de mon emploi du temps assez chargé. Isulka est une héroïne comme je les aime. Elle est forte, indépendante, grande gueule, ne se laisse pas marcher sur les pieds... mais sait aussi faire preuve de faiblesse, elle n'est pas toute puissante et infaillible. J'ai adoré la voir si egocentrée et parfois même égoïste, c'est rafraichissant ! Si elle "sauve le monde", elle le fait surtout pour sauver sa peau et si, par hasard, ça sauve celle des autres, c'est du bonus. Il ne faut pas s'attendre à de grandes démonstrations d'affection ou de grands discours larmoyants de la part d'Isulka... et c'est vraiment cool. Ça la rend plus humaine, plus réelle que d'autres protagonistes presque parfaits. Elle est vraiment le point fort de ce roman. Ses interactions avec les autres personnages sont tout aussi savoureuses. Avec Scipione, il y a ce lien qui se tisse presque instantanément, néanmoins je suis ravie que Dorian ne se soit pas tombé dans la facilité pour leur relation. Il aurait été facile d'aller à l'encontre de la personnalité d'Isulka pour en faire autre chose... mais ce n'est pas le cas, et ça aussi, c'est vraiment génial. J'ai aussi beaucoup aimé la relation d'Isulka avec Ankhfareh. C'est avec elle que la mageresse laisse tomber ses barrières, se laisse aller à une certaine douceur et fragilité. Je regrette un peu la fin de leur relation, mais encore une fois, ça reste fidèle au caractère d'Isulka, de ne vouloir s'attacher à personne. Au niveau de l'intrigue, le rythme nous fait tourner les pages, pour connaître la suite des aventures de la mageresse. Il n'y a pas de moment de répit. Certaines choses semblent parfois un peu faciles, comme la bague qui choisit Isulka plutôt qu'une égyptienne, mais ce sont des facilités "nécessaires", si je puis dire, sans lesquelles il n'y aurait pas lieu de rédiger un roman. Tout comme l'événement perturbateur... personne ne veut lire une histoire dans laquelle il ne se passe rien ! En ce qui concerne l'univers, il reste assez habituel. Mis à part la magie, notamment celle d'Isulka et celle des égyptiens, il est semblable au nôtre. Peut-être est-ce pour le mieux, d'ailleurs, pour mettre d'autant plus en avant Isulka et sa force, qui aurait peut-être eu moins d'impact si la fantasy de l'univers avait été plus présente. Pour conclure, je dirais que j'ai passé un excellent moment avec Dorian et sa plume, et ses personnages ! Et que le tome 2 n'en est que meilleur encore ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "La Vieille Alliance" de Dorian Lake ! Rendez-vous dans une minute pour la suite =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ |
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