Bonjour à tous ! Aujourd'hui, je vais encore vous parler d'un SP ^^ Il y en aura deux après celui-ci, et ensuite, ça devrait être bon, je retrouverais des lectures un peu plus "normales" on va dire ! Je tenais à remercier les éditions Lune Ecarlate pour celui-ci.
Mon avis :
J'ai eu beaucoup de mal avec le début. C'est bête, quand on a du mal avec les débuts, parce qu'après, il est vraiment dur de se défaire de cette impression et de retrouver un oeil neuf sur la suite du roman. J'ai eu du mal avec le début parce que j'ai eu l'impression de lire des fragments d'histoire, comme on les écrit souvent dans les fiches de personnage sur les forums de jeu de rôle textuel (dont je suis un habitué), et pas vraiment un roman en lui-même. Peut-être était-ce voulu, puisque que ces quelques chapitres n'ont que pour vocation de nous parler de quelques événements de la vie passée du héros : Cathal... mais ça m'a chiffonné. Une fois revenus à l'instant présent, je n'ai pas été plus transporté que ça par le style d'écriture de l'auteure... Si ses phrases racontaient bien une histoire, des actions, quelques sentiments, j'avais juste l'impression de lire des mots accolés aux autres, sans parvenir à me plonger dedans et à ressentir. C'est dommage, moi j'aime et je désire, je veux, ressentir quand je lis. Sinon, ça ne sert pas à grand chose à mes yeux... Puis le manque d'émotion, le léger ennui, se transforme en agacement et en exaspération envers le comportement de Cathal. J'ai détesté qu'il embrasse Nelly alors qu'elle était à moitié inconsciente après qu'il lui ai pris son sang, sans son accord, et qu'il s'impose encore à elle à l'hôpital. OK, ça peut paraître paradoxal après vous avoir dit vouloir du dark, des vampires qui ne brillent pas au soleil et ne tombe pas amoureux d'adolescentes... mais pour le coup, on nous présente Cathal comme quelqu'un de bien, le héros... et il se transforme en homme de Cromagnon, en stalker, et blâme l'amour pour excuser son comportement... Sauf que ça n'est en rien de l'amour ! Il ne connait rien de Nelly. C'est de l'obsession perverse d'un harceleur violeur... car oui, il la suit partout et lui impose sa présence parce qu'il est amoureux. OK, c'est un vampire de plusieurs siècles, mais il a eu bien le temps pour s'adapter aux moeurs des différentes époques, ainsi que pour apprendre à contrôler ses pulsions pour ne pas révéler l'existence des vampires aux humains... La phrase qui m'a le fait le plus tiquer était "Cela prendrait le temps qu'il faudrait, peu importait les moyens, mais il l'aurait."... et si elle veut juste pas de lui, hein ? Il dit qu'il n'est pas un monstre, mais il l'est dans sa façon de traiter Nelly. Il l'a bel et bien violée, puisqu'elle était somnolente quand elle lui a donné son "consentement", elle se croyait encore dans un rêve. Et avoir des fantasmes tordus n'est pas synonyme de consentement une fois parfaitement réveillée. Même après cela, après qu'elle l'ai repoussé, il cherche toujours à la toucher, à l'embrasser, se fait plus collant qu'une sangsue... Mais Nelly est aussi à baffer puisque cet homme lui fait terriblement peur, mais qu'il l'obsède et la fascine malgré tout "parce qu'il embrasse divinement bien". J'ai l'impression de lire une excuse à deux balles de certains hommes : "Mais si ça avait été Brad Pitt qui t'avait peloté le cul dans le métro, tu aurais pas crié au harcèlement de rue !" Et bien si. Qu'il soit canon, plein aux as, célèbre, s'il n'y a pas consentement, ça reste du harcèlement, du viol, je suis désolé. Blâmez le féministe en moi si vous voulez... mais ma lecture ne commençait donc pas sur une bonne note. J'avais l'impression de relire Fifty Shades of Grey, version vampire (ironique quand on sait qu'à la base, c'était une fanfiction de Twilight, mais je m'égare)... ou bien une "chronique" comme il en pullule sur Wattpad, dans lesquelles l'héroïne tombe amoureuse de son kidnappeur/violeur... malgré tout, elle ne mérite pas ce qui lui arrive à la fin du livre, comme j'ai pu le lire dans certains autres avis, ou même dans les paroles de certains personnages. Elle ne mérite pas que Cathal l'attaque sauvagement parce qu'il n'en peut plus qu'elle n'accepte pas sa véritable nature, qu'elle n'accepte pas qu'il la morde. Pour moi cette scène ressemblait à une scène de viol, ni plus, ni moins. La victime ne mérite pas qu'on la viole. Ce n'est jamais de sa faute, mais bien celle de l'agresseur. Ne vous méprenez pas, j'aime le dark, vous l'avez sûrement vu avec certaines de mes lectures, je ne suis pas dérangé par les relations malsaines (j'ai adoré Lune de Miel et Le Requiem de la Sorser'tan de Manon Elisabeth d'Ombremont), mais je déteste quand on mélange les choses. Ici, le comportement obsessionnel et possessif de Cathal, et le viol (oui il y a bien eu viol) est qualifié d'amour. Il agit comme ça parce qu'il aime Nelly. Sauf que ce n'est pas de l'amour. L'amour ce n'est pas ça. L'amour ne justifie pas ce genre de comportements aussi affreux. Vous allez forcer quelqu'un à vous aimer, vous ? A vous faire l'amour ? Parce que vous l'aimez ? Non, c'est de l'obsession malsaine, mais pas de l'amour. Si on devine, au début entre les lignes, qu'un lien métaphysique s'est tissé entre Cathal et Nelly, il n'est pas non plus suffisant, à mes yeux, pour "expliquer" l'obsession de Cathal, son "coup de foudre", et le caractère changeant de Nelly... On a souvent tendance à agiter l'excuse de l'âme-soeur surnaturelle/magique/métaphysique/divine pour justifier de ce genre d'histoire amoureuse mais pour moi ce n'est pas suffisant... du moins pas quand elle n'est pas suffisamment bien exploitée. Une fois la première moitié passée, on rentre enfin un peu dans le vif du sujet avec l'Ordre de la Miséricorde qui vient sur le devant de la scène ! Enfin un peu d'action, j'ai envie de dire ! Mais on retrouve à nouveau le style un peu plus expéditif du tout début du roman et au final, si l'action se déroule en effet, elle n'a guère de saveur. Et puis l'Ordre est tout aussi vite expédié, puisqu'en quelques chapitres, il n'y a déjà plus personne. A ce moment-là du récit, je me demande ce qui va bien pouvoir nous tenir encore pendant le gros dernier tiers... Et j'espère qu'on ne va pas revenir sur l'obsession de Cathal envers Nathy... Mais non, heureusement. Du moins pas que. Je trouve que le récit prend enfin de la saveur, avec un style d'écriture qui me convient et qui m'emporte un peu plus, seulement quand Cathal se fait convoquer par Edern qui coupe court à la "lune de miel" de Cathal et Nelly (merci Edern !). Là, il y a un peu plus d'action, un peu plus de suspens et les pages s'avalent bien plus vite que pendant les trois premiers quarts du livre ^^' J'aurais préféré que tout le livre soit sur le modèle des dernières pages, vraiment. J'aurais été bien plus convaincu et satisfait par ma lecture... La traque de cette secte et de la taupe est bien plus palpitante que le reste ! C'est à ce moment-là qu'on entrevoit réellement tout le potentiel de l'univers de l'auteure, qui aurait été tellement plus riche et intéressant à exploiter que tout le drama entre Cathal et Nelly. On découvre un peu plus en profondeur la mythologie créée par l'auteure et elle se montre plus captivante que les déboires amoureux d'un vampire guerrier. J'aurais largement préféré que 70% du livre s'intéresse à cela et seulement 30% à la romance, et non pas l'inverse comme c'est le cas... J'ajouterais que ce qui m'a le plus satisfait dans ce roman, à part le potentiel de l'univers pas assez exploité, sont ses personnages secondaires. J'ai beaucoup apprécié Lothaire et Amelia, et aussi le père de Nelly... et EDERN ! Lui a un peu de bon sens ! Arius aussi, la voix de la raison xD Et Octavia, sa compagne qui est vraiment adorable... mais clairement pas Cathal et Nelly (je pense que vous l'aurez compris depuis xD) Je m'étais basé sur le résumé quand Lune Ecarlate avait proposé ce SP et il m'avait emballé pour sa première partie. Je n'ai vu la couverture qu'après (qui n'est pas à mon goût, mais il ne faut parfois pas s'y fier, ça cache parfois de jolis bijoux), ainsi que les mots-clés/thèmes sur Booknode... Et, franchement, la première très grosse moitié tient vraiment beaucoup plus de la romance paranormale que de l'enquête fantastique promise dans le résumé. Peut-être fus-je déçu pour cette raison. Peut-être n'avais-je juste pas envie de lire de la romance, mais bien un thriller fantastique... mais malheureusement le Chevalier-Vampire ne m'a pas convaincu... et l'aperçu presque alléchant de l'univers à la fin du roman, ainsi que le "beau" cliffhanger, ne seront peut-être pas suffisant pour m'inciter à lire la suite. A voir ce que je pourrais lire dans les chroniques déjà écrites sur le sujet. Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Melody, huit ans, deux vampires et l'apocalypse", petit SP reçu au format papier, de Cestdoncvrai (Cloé et Tat) que j'ai rencontrées sur Wattpad. Je pense que ça me fera une bonne petite pause avant de me lancer dans l'autre SP de Nathy que j'ai encore à lire. Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~
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Avec Le Déchu, je renoue avec mon amie Manon et son univers de dark fantasy. La suite de La Chienne de l'Ombre arrive deux ans après la sortie du premier tome et il me tarde de me replonger dans les sombres aventures de Melyan, Elyalë et Elcmar !
Mon avis :
Que dire sinon que Manon signe à nouveau un coup de coeur dans mes péripéties littéraires ? Après deux ans, je retrouve Melyan et Elyalë, Telbrin et Elcmar, découvre Aëryne et Elkentar. En deux ans, la plume de Manon a mûri, et ça se sent. Son univers est toujours sombre, violent, sans filtre, mais une certaine retenue s'affiche malgré tout, une subtilité qui faisait peut-être légèrement défaut dans le premier tome. Le récit n'en perd par ses caractéristiques premières, bien loin de là, il en gagne en profondeur et en intensité. Les personnages restent bien fidèles à eux-mêmes, même si on se rend compte que certaines de leurs convictions sont mises à mal... sûrement par Elcmar qui, s'il détruit l'équilibre en Faërie, semble aussi le faire au sein de chaque être qu'il côtoie. Plus on avance, plus on se rend compte qu'ils sont des pions sur l'échiquier du dieu-dragon, même si on savait déjà qu'il les considérait comme tels. Une partie d'échecs que Manon joue avec un rythme précis, parvenant à nous maintenir en haleine si bien que les pages sont avalées sans se rendre compte des heures qui passent (je l'ai lu en 24h !! OK, il est fait pas 800 pages, mais tout de même !). Les informations sont semées juste quand il le faut, sans temps mort et longueurs ou trop plein de détails. Manon ne s'encombre pas de descriptions inutiles. Elles sont juste assez nombreuses et détaillées pour nous plonger dans ce monde si différent du nôtre, sans pour autant nous noyer sous des renseignements inutiles. Je ne sais pas vraiment quoi dire d'autre, en vérité ! On sent une nette amélioration entre ce tome et le précédent, qui était le premier roman de Manon. Le Déchu est plus abouti, plus réfléchi, plus intriguant que La Chienne de l'Ombre, que j'avais apprécié aussi, n'allez pas croire ! J'ai encore une fois passé un très bon moment entre les pages d'un de ses ouvrages. Et on se demande pourquoi je me lamente à chaque fois que je passe devant un rayon de fantasy dans les librairies, à voir tous ces auteurs anglophones (qui sont aussi très bons, je ne dis pas le contraire) alors qu'on a des petits bijoux dans notre propre langue ! Ça ferait tellement du bien au genre, une bouffée d'air frais (comment ça, c'est contradictoire avec de la dark fantasy, l'air frais ?), de mettre un peu plus en avant les auteurs francophones ! Oh, mais n'est-ce pas pour ça qu'on a le Printemps de l'Imaginaire Francophone ? Ah si ! =P Bref, Manon, Lilian, je veux le tome 3 ! Il sort quaaaaand ? Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Le Chevalier-Vampire" de Nathy. De nouveau des vampires (après Ad Majorem Dei Gloriam), de nouveau du dark... Ça devrait le faire, non ? =P Sur ce, je vous laisse à votre soirée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Aujourd'hui, avec ce nouveau SP proposé par les éditions Lune Ecarlate, je me replonge un peu dans l'univers des vampires que j'avais longtemps laissé de côté, lassée par la bit-lit à en vomir ou presque... Chaque livre de vampires que je croisais en librairie était une histoire dans la lignée de Twilight, Vampire Diaries et compagnie... et franchement, j'en avais ras-le-bol. Pour renouer avec mes longues quenottes, j'avais besoin de vampires dark comme on pouvait en trouver autre fois. Pas des badboys au grand coeur, pas des badboys tout court, mais bien des créatures sanguinaires. Bref, je vous laisse découvrir si Ad Majorem Dei Gloriam remplit mes attentes ou pas :P
Mon avis :
Je commencerais par dire que ces vampires-ci n’étaient pas ultra-sanguinaires. Mais ce n’était pas une mauvaise chose, loin de là ! Je les ai trouvés très humains dans cette version du mythe par M’Isey. Une revisite de la légende plutôt surprenante d’ailleurs, surtout par leur rapport à l’Église, mais rondement menée. J’ai beaucoup aimé ma lecture, même si j’ai toujours un peu de mal avec les récits au présent. À chaque flash-back, j’ai senti une bouffée de joie parce que je retrouvais mon cher passé simple qui, je trouve, sied bien mieux au roman que le présent. Il lui donne une profondeur et tout un bouquet d’émotions que je n’arrive jamais à retrouver tout à fait avec le présent. Malgré tout, la plume de M’Isey est très poétique et mélancolique et j’ai adoré cela. Il y a cette nostalgie, cette détresse, cette urgence pourtant résolue qui émane de ce texte et j’ai été transporté par ces émotions. Les personnages sont également grandement réussis. On y retrouve quelques immortels, et leurs ennemis. Griffon et sa grandiloquence, sa déchéance, sa rage et sa lassitude. Davy et son instinct protecteur, sa volonté de ne pas s'impliquer dans les conflits. Edéa, torturée entre l'héritage de son père et ces amis qu'elle s'est faits à travers les années. Mylène et son innocence forcée. Achille, tant exalté par sa mission divine, pourtant plus cruel que tous les autres. Au travers eux, on devine tous les vices dont est empreinte l’espèce humaine. Les vampires en sont les victimes dans un miroir triste et effrayant de ce que pourrait devenir l’actualité. Les descriptions sont juste assez suffisantes pour que l’on puisse se représenter les différents protagonistes et l’univers dans lequel ils évoluent. On retrouve cette époque de première guerre mondiale, bien que la ville où se déroule l’histoire soit préservée du combat des Hommes... mais pas épargnée par le fléau de l’Église. La fin est tout aussi satisfaisante que le reste du récit. En demie teinte, avec cette mélancolie teintée d'espoir. Lire Ad Majoren Dei Gloriam fut un très agréable moment passé avec la plume de M'Isey dont j'ai hâte de découvrir les prochains romans. Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Le Déchu" de Manon Elisabeth d'Ombremont. La suite des Légendes Faës, la première saga écrite par mon amie ^^ J'ai hâte de me replonger dans son univers qui est bien dark également <3 Sur ce, je vous laisse à votre soirée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour à tous et à toutes ! Je poursuis sur ma lancée du PIF avec un autre SP de L'ivre-Book, plutôt qu'avec la liste que j'avais prévue... C'est pas de ma faute si les maisons d'édition proposent des SP cools, si ? Evidemment, ils passent en premier parce que si la lecture reste un plaisir et un hobby, recevoir des SP est un peu un pas vers le professionnel... un peu comme du bénévolat/volontariat si on veut ! Bref, je vais arrêter de baragouiner plus longtemps et vous laisser avec ma chronique.
Mon avis :
Je commencerais par dire que le début a été un peu difficile pour moi. En effet, j'y ai très vite remarqué beaucoup de répétitions. J'avais à peine lu quelques pages que déjà, le mot "prêtre" était revenu plus de 4 fois sur une seule d'entre elles (et elles sont petites sur la Kindle), ensuite il a aussi eu "bête" qui revenait sans cesse, et "banquette" et "engrenage"... et j'ai une vilaine cervelle : quand elle commence à voir des trucs qui la font tiquer, elle les cherche partout ensuite... alors autant dire que j'ai eu un peu de mal à me plonger dans le roman après ce début... Mais tout n'est pas à critiquer, loin de là ! Le style s'améliore une fois le premier tiers du roman passé ! C'est un peu comme si l'auteur (je me trompe peut-être, hein ! ce n'est qu'une supposition de ma part) n'avait pas vraiment apprécié d'écrire le début, mais que c'était nécessaire pour planter les bases et ne pas balancer le lecteur directement dans le vif du sujet, au risque de le larguer. Car, franchement, on sent (du moins moi quoi) qu'il prend vraiment plus son pied après, notamment avec l'arrivée de deux autres personnages pour compléter le premier duo. On y découvre une mythologie propre au roman, des trahisons, les questions se bousculent, on a hâte d'en apprendre plus et surtout le fin mot de toute cette histoire ! Les descriptions ne sont également jamais lourdes et trop longues (sauf peut-être quand les vilaines répétitions s'invitent). Elles sont justement dosées et j'ai particulièrement apprécié découvrir le parc d'attractions d'Aquilia. Basé sur ceux qui nous sont familiers, il en ressort néanmoins cette atmosphère très steampunk, peut-être même plus que dans tout le reste du récit, malgré les créatures mécaniques et les armes typiques de ce genre littéraire et visuel. J'ai également énormément appréciés toutes les scènes de combats, qui sont parfaitement rythmées et très visuelles dans leur description, ce qui aide à s'y immerger complètement. Les personnages sont aussi très charismatiques et humains, avec leurs qualités comme leurs défauts et leur caractère pas toujours facile à vivre ! La seconde moitié du roman est clairement bien mieux que la première, avec un rythme plus efficace et un style plus fluide, et le plaisir de la lecture est vraiment là. L'intrigue prend de l'ampleur et étend ses vrilles un peu partout pour en faire une toile complexe et intéressante. Il y a quelques petites choses que j'ai trouvées trop faciles ou bien prévisibles (la guérison miracle d'un certain personnage, les réelles identités d'Axel et du Chapelier) mais ça ne m'a pas empêché d'avoir quelques larmes aux yeux sur la fin malgré tout ! En parlant de fin, elle donne envie d'avoir la suite... donc, elle vient quand la suite ? Je veux, je veux ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Ad Majorem Dei Gloriam" de M'Isey. Encore un SP qui n'était pas dans la liste d'origine, mais ne dit-on pas qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ? Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ |
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