Bonjour ! Aujourd'hui, ce sera un petit SP ! Même si j'avais dit que je privilégiais ma PAL papier pendant encore un moment, l'auteure m'ayant proposé son SP via SimPlement, il passe évidemment avant les autres ! Je la remercie d'ailleurs pour cette opportunité de la découvrir =)
Mon avis :
Vous le savez, je ne suis pas très adepte de romance de manière générale, du moins pas celle qui est bourrée de clichés à toutes les pages. Ici, avec La Clé d'Oriane, je m'attendais — à juste titre — à quelque chose de différent et je n'ai pas été déçu ! Si au début, j'ai eu un peu peur de ce qui allait m'attendre parce que dans les premières pages on retrouve une description sous toutes les coutures de l'héroïne, puis de sa meilleure amie, comme on voit ce genre de descriptions dans toutes les histoires sur Wattpad qui n'ont que peu d'intérêt ; et parce que j'ai craint que la période de rupture s'étale plus que de raison, j'ai vite été rassurée par la suite. Le rythme devient plus efficace et les actions s'enchaînent. Il y a malgré tout des moments plus calmes, nécessaires à l'intrigue. L'auteure sait alterner ces passages, donnant une certaine additivité à son récit. Si les scènes s'enchaînent rapidement, ça n'en dénature pas pour autant les personnages. Je les ai trouvé très réalistes, contrairement à d'autres qui acceptent parfois le paranormal trop facilement dans leur vie. Oriane s'interroge, refuse de croire que Serrure est bien là, malgré toutes ses suppliques pour l'aider. Ce que toute personne normale et saine d'esprit ferait ! Tout comme son amie qui pense tout de suite à des hallucinations à cause des somnifères qu'Oriane prend, et des conséquences de sa vilaine rupture. Les personnages plus secondaires, cependant, apparaissent un peu plus facilement convaincus de la chose, mais j'imagine que si on leur avait laissé autant de temps qu'à Oriane pour être assurés de la chose, le roman ferait deux fois sa taille actuelle ! J'ai bien aimé la fin également. Enfin, pas la toute fin, mais juste avant. J'ai aimé qu'Oriane ne s'accroche pas comme une moule à son rocher et prenne de la distance, se remette à la création de sa bande-dessinée. On voit, à travers ce passage, à quel point toute cette aventure lui a permis de mûrir et de devenir un peu plus adulte. Et c'est un point des plus appréciables ! La Clé d'Oriane fut une très bonne lecture. Rafraichissante, amusante, tout en ayant un fond plus sérieux. Je m'intéresserais certainement aux autres romans de cette auteure ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Le Songe d'Adam" de Sébastien Péguin ! Il était celui qui a reçu le moins de votes, donc il arrive en dernier... Rendez-vous sur la page FB pour voter pour les trois prochains ! Sur ce, je vous laisse à votre dimanche =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~
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Bonjour ! Je ne saurais pas vous dire comment j'ai découvert ce livre... Sûrement une suggestion de la part d'Amazon lors d'une de mes commandes... Mais, grande friande que je suis des contes et des histoires épiques, je me le suis procuré et voici enfin que je le lis, et vous en fais donc la chronique ! Parce que oui, ça fait bien trop longtemps qu'il est dans ma PAL (depuis le 22 juillet 2014, j'ai honte)... Il était temps que je m'y mette ! ~~~~~~ Hi ! I couldn't tell how I heard about this book... Surely a suggestion on Amazon during one of my order... But, as a great lover of tales and epic stories, I bought it and I'm finally reading it ! And here you can find my review of it... It was on my pile-of-books-to-read for too long (since July 22, 2014, I'm ashamed)... It was time I read it !!
Mon avis :
(Below for english) J'ai adoré ce roman. Voilà, c'est dit. L'auteure revisite plusieurs contes et légendes, notamment celui de Blanche-Neige, mais en y mêlant les faits historiques et géographiques. Son récit est chargé de références et ne sonne jamais faux. On suit Adelaide après la mort de sa mère et tout ce qui en suit, dans sa quête de vengeance auprès de l'Eglise et plus particulièrement du prêtre de sa paroisse, le Père Soren, dans la Cologne du 12ème siècle... mais on découvre aussi son quotidien qui est loin d'être tout rose en tant que fille du cordonnier. Adelaide est une jeune fille qui ne détonne pas dans cet univers, même si elle est une forte tête, elle est loin des clichés des romans se déroulant à l'époque victorienne qui font fi de toutes les convenances de leur siècle. Les autres personnages sont dépeints avec tout autant de justesse qu'Adelaide, même s'ils sont plus secondaires. Son meilleur ami Ivo est tout aussi complexe qu'elle, peut-être même plus encore. Son père, déchiré par la perte de sa femme, se perd dans l'alcool et dans les bras de Galadriel. Et bien d'autres encore. Chacun a sa place pour faire avancer le récit, pour aider Adelaide ou brandir des épreuves. C'est peut-être là la seule chose que je déplorerais pour ce roman. Si Adelaide affronte bien des soucis dans la quinzaine de jours que dépeint le roman, il manque un enjeu, un obstacle de taille sur le chemin de la jeune fille. On se doute bien qu'il arrivera dans le tome suivant, mais j'aurais peut-être aimé quelque chose de plus grandiose également dans ce premier tome... Malgré tout, il a un certain charme à exposer une multitude de défis plutôt qu'un énorme challenge dès le début. Je conseille sans hésiter ce livre aux amateurs de contes et de romans de fiction historique Je pense aussi à la maison d'édition Magic Mirror : Même si je n'ai pas encore lu de romans chez eux, s'ils devaient s'adonner à la traduction d'ouvrages anglophones, je suis prête à parier que celui-ci y aurait sa place ^^ ~~~~~~ I loved this book. Here, I said it. The writer restyles several tales and myths, especially Snow White, but adding historical and geographical facts. Her story is filled with references and never sound odd, never not ring true. We follow Adelaide after her mother's death and all which come after, in her vengeance quest against the Church and more particularly Father Soren, in 12th century Cologna... but we also discover her everyday life which is hardly a bed of roses, being a cobbler's daughter. Adelaide is a young girl who doesn't sound odd in this world, even if she is headstrong, she is far from clichés of girls in stories taking place in the Victorian era laughing in the face of the decency of their century. The other characters are painted with the same accuracy as Adelaide, even if they are secondary. Her bestfriend Ivo is as complex as her, maybe even more. Her father, torn by the loss of her wife, drowns his sorrows and gets lost in Galadriel's arms. And so many more. Each of them has its place to make the story progress, to help Adelaide or threaten her. There is maybe the only thing I regret in this novel : I felt like there were no real threat. I mean, Adelaide faces many things during the fortnight narrated in the novel, but I think it is lacking something big. I guess it will be on the next novel, but I would have liked to see something a bit more spectacular in this one too. Nevertheless, there is an appeal in the several challenges, and not a big one to start with. ~~~~~~ Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "La Clé d'Oriane" de Leslie Héliade, un petit SP qui passe avec "Le Songe d'Adam" ! Rendez-vous sur la page FB pour voter pour les trois prochains ! Sur ce, je vous laisse à votre après-midi =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour mes petits dragons ! Aujourd'hui, je vais vous parler du second tome de la trilogie "Néachronical" de Jean Vigne. J'avais acheté le tome 1 aux Halliennales 2016, en attendant mes tomes 2 et 3 de la "Geste des Exilés" de Bettina Nordet (la queue était longue alors j'en ai profité pour regarder les autres livres proposés sur le stand de la ME xD), ce qui explique pourquoi il n'a pas de chronique sur le blog... Ça m'ennuie toujours de poster la chronique d'un tome d'une saga alors que le(s) premier(s) ne sont pas dessus... mais comme je suis loin d'avoir commencé à lire seulement depuis l'ouverture du blog, ça risque d'arriver souvent xD Bref, je vous laisse avec ma chronique ;)
Mon avis :
J'ai eu un peu de mal au début, par le récit à la première personne du singulier et au présent, puisque ce n'est pas ce que je préfère. J'ai également été surprise de constater qu'un chapitre sur deux était consacré à une autre histoire que celle de Néa. On se doute bien que l'histoire de ce chevalier revenant de Terre Sainte va avoir un rapport avec le présent et Néa, mais c'est troublant au début malgré tout. Mais, au final, je trouve ces chapitres plus intéressants et mieux écrits que ceux avec Néa... Que je m'explique : J'ai retrouvé Néa, comme je l'avais laissée dans le tome précédent : avec une narration qui lui donnerait 25 ou 30 ans, et pas les 15 ans d'âge "mental" qu'elle est censée avoir après avoir perdu 5 ans de sa vie. Tant et si bien que certaines de ses réflexions m'ont paru choquantes, puisque détonnant avec le style narratif. La narration "je+présent" a aussi l'inconvénient de rendre les scènes d'action très crues, à la limite du gore, de façon facile et gratuite, mais également avec un détachement presque surréel de la part de l'héroïne... Si je n'avais jamais réellement porté Néa dans mon coeur, je dois avouer qu'à chacune d'entre elles, je perds en empathie pour elle et elle m'est de plus en plus insupportable... D'autant qu'elle se pose en victime (ce qu'elle est, qu'on se le dise. Personne ne demande à être violée, torturée et tuée, puis ressuscitée pour devenir un monstre de foire) alors qu'elle tue toujours plus de personnes sans s'en offusquer, sans en faire des cauchemars, à part dans quelques sursauts d'humanité. Après, je n'ai rien contre un roman qui nous présente son prota comme un héros pour ensuite le faire devenir vilain, mais je trouve qu'ici, ça va un peu trop vite et qu'on ne s'attarde pas assez sur l'évolution du personnage de Néa. Il est vrai que le rythme effréné lui laisse peu de temps pour de l'introspection, mais à chaque nouveau cadavre, mon esprit ne pouvait s'empêcher de le souligner... Une chose m'a cruellement choqué également dans le roman. C'est le petit paragraphe "Je me redresse, balaye d'un revers de main la poussière collée à mes vêtements. Monstre, peut-être, femme avant tout."... Si vous ne voyez pas ce qui cloche là-dedans, je ne peux rien pour vous... mais dans ma tête, ça a allumé tous les voyants entourant "sexisme ordinaire"... Je ne dis pas qu'une héroïne ne peut pas épousseter ses vêtements, mais c'est la tournure de phrase, le "femme avant tout", qui me choque, comme si s'inquiéter de l'état de sa garde-robe alors qu'elle est en pleine pseudo-apocalypse dans un bunker en plastique ne viendrait jamais à l'idée d'un homme, ou que ce n'est qu'une préoccupation féminine. Même si Néa était la garce du collège avant sa disparition et sa transformation, vu tout ce qu'elle a vécu depuis, je l'imaginais plutôt loin de ce genre de préoccupations... Malgré cela, j'aime beaucoup l'univers créé par l'auteur. Il est riche et regorge de détails qui ont leur importance, mais sans descriptions alourdissant le récit. Son approche de la nécromancie et des légendes est vraiment bonne également ! J'aurais certainement apprécié d'autant plus la surprise de la révélation de la véritable identité de Tod si seulement je n'avais pas lu les tags sur BookNode à la création de cette chronique, mais c'est une revisite du mythe assez agréable. L'identité de Néa était assez prévisible aussi, une fois une autre identité éclairée... Malgré cela, je suis curieux de savoir ce qu'il se déroulera dans le tome 3. On devine une autre confrontation, comme celle qui a eu lieu il y a des siècles de cela, avec les trois protagonistes de la légende (plus Juliette)... et il reste des interrogations, outre qui en sortira vainqueur : est-ce que Néa récupérera les souvenirs qu'elle a perdu, d'une façon ou d'une autre ? Ou est-ce que sa lignée est définitivement perdue avec elle ? Je dois avouer que j'aimerais bien une fin ouverte pour le dernier tome... Peut-être Néa victorieuse quand même, mais obligée d'y sacrifier sa vie... ce qui permettrait à sa lignée de reprendre. Ouais, j'aimerais bien que ça se finisse comme ça. On verra bien à la lecture du dernier tome ! Car oui oui, même si Néa me pose toujours problème depuis le premier tome, j'ai quand même envie de connaître le dénouement de l'histoire ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "The Fairytale Keeper" d'Andrea Cefalo ! Il était à ex aequo avec "Post-Mortem", donc c'est normal qu'il arrive ensuite ;) Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour, Aujourd'hui je vais vous parler de "The Choice", un roman de Nicholas Sparks... Vous allez me dire que je fais dans le déni quand je vous dis que je ne lis pas de romance contemporaine et voilà que j'en rajoute encore un à ma liste... mais bon, ça arrive qu'un résumé m'interpelle ou d'avoir des moments où mon coeur est un marshmallow... ce qui est assez dangereux quand on est un dragon, vous l'avouerez, parce que c'est bon les marshmallows grillés.
Mon avis :
Je commencerais par dire que j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce roman, sans pour autant que ce soit dû à ma lecture précédente. On retrouve Travis et Gabby, voisins dans une petite ville ("petite" est tout relative, on se trouve aux Etats-Unis après tout). Gabby vient d'emménager et, évidemment, tombe amoureuse de son beau grand et fort, et plein d'humour (baroudeur, coureur de jupons aussi, mais sensible avec un coeur tellement gros ! (sic) qui n'aspire en vérité qu'à trouver la bonne), voisin : Travis, au bout d'un regard et de trois paroles échangées. Pour Travis, c'est pareil. Une rencontre et PAF, des Chocapics. Nous sommes certes dans une romance, mais — pleurez pas — je ne crois pas au coup de foudre, alors j'aurais aimé que ça soit un peu plus graduel. Car ça aurait pu être amené comme une attirance physique en premier lieu, mais l'auteur implique tout de suite des sentiments d'amour très forts, sans évolution graduelle. Alors, bien évidemment, ils ne se mettent pas ensemble tout de suite (juste au bout du week-end qu'ils ont passé ensemble avec les amis tous en couple+famille de Travis), puisqu'il y a Kevin, l'actuel petit ami de Gabby... Bref, un début qui ne m'a guère satisfait pour ses facilités, ses dialogues un peu surréels avec un Travis qui insiste toujours plus avec ses questions pour finalement laisser tomber deux secondes après, mais aussi parce que je n'ai pas pu m'identifier aux personnages, ni même au contexte et à l'ambiance parce qu'il y avait une très forte connotation américaine à laquelle je n'accroche pas forcément. Contrairement à "Love, Rosie" où les personnages étaient britanniques, avec un contexte et une ambiance anglaise qui me touchent bien plus... et l'histoire de Rosie et Alex s'étend sur 45 ans, on a le temps de voir leur relation se construire et s'ils se loupent quand même beaucoup, ça m'a semblé bien plus naturel que l'histoire de Travis et Gabby. Leur histoire à eux s'étend sur 11 ans, mais on a moins cette sensation de vivre avec eux, puisque la majeure partie du livre décrit seulement les premiers jours après leur rencontre et qu'on n'a que quelques flashbacks très courts de leur vie à deux par la suite. Le dernier tiers, cependant, est le plus intéressant à mon avis. Le prologue nous promettait un retournement de situation dans cette idylle parfaite, et ce tiers l'explore plus en avant et l'on découvre que la première partie n'était en fait que Travis qui se souvenait de sa rencontre avec Gabby. C'est un peu dommage, j'aurais préféré qu'il s'attarde quand même plus sur les brefs flashbacks de leur vie après leur rencontre, avec la maison qu'ils ont construit, les enfants, tout ça, les hauts, les bas... que sur leur coup de foudre, qui fait quand même 215 pages (alors que tout le reste (flashbacks + temps présent) que 100). C'est dans cette partie que j'ai retrouvé vraiment des personnages plus naturels, plus crédibles. Alors, je sais, quand on lit une romance, on n'a pas forcément envie que ce soit crédible et logique, mais je ne dois pas avoir un esprit à lire ce genre de romance. Bref. Travis m'apparait comme beaucoup plus humain et réel dans cette partie, avec des sentiments qui m'ont bien plus touché. Malheureusement, elle est beaucoup trop courte et pas assez développée, approfondie, comparée à la première partie... donc, au final, si je n'ai pas non plus détesté le livre, il ne m'a pas transcendé ni complètement bouleversé... Dommage. Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Post-Mortem" de Jean Vigne ! Il était à ex aequo avec "The Fairytale Keeper", mais je me suis dit que j'allais repasser un peu sur du français ;) Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Aujourd'hui, je vais vous parler du troisième tome d'une série que j'aime bien. The Fairwick Chronicles est très bien écrite, avec plein de magie, de surprises, de sensualité, et une plume très intelligente et mature. On est loin de la bit-lit ou de la romance paranormale érotique pour les adolescentes ou les ménagères en mal d'amour, mais bien pour des jeunes adultes et des adultes qui ne ferment pas les yeux sur leurs désirs et leur vie sexuelle... On n'en a pas à toutes les pages non plus, malgré la présence d'un incube, ce n'est pas non plus de l'érotisme, rien que de l'urban fantasy avec des scènes délicieuses pour la saupoudrer de miel un peu piquant !
Mon avis :
A chaque début de tome de la trilogie, j'avais un peu peur de ne pas resituer les personnages et les lieux, puisque je les ai lus très espacés... mais Carol Goodman sait gérer et tout revient très vite en mémoire, à travers les pensées et réflexions de l'héroïne. On le retrouve donc dans un Fairwick soumis aux nephilims, cette engeance d'elfes et d'humaines qui sont loin d'être les anges qu'ils se targuent d'être. Bien évidemment, ce tome va raconter comme Callie va s'en débarrasser. C'est assez flou au début, on sent bien son désespoir et son impuissance face à ces créatures qui ont réussi à s'emparer de sa ville, du campus sur lequel elle enseigne, à changer complètement Fairwick depuis que la majorité de ses amis se sont retrouvés piégés en Faerie à la fin du tome précédent. J'ai beaucoup aimé ce livre, car on suit la maturation de Callie à travers les tomes et celui-ci apparait comme la consécration. Il y a une vraie évolution du personnage, mais aussi de celui de son incube. Il apparait dans chaque livre sous une forme différente, et on peut suivre sa rédemption, les sacrifices qu'ils font tous les deux pour sauver ceux qu'ils aiment. Alors oui, c'est une vaste histoire d'amour, mais pas que. C'est aussi une forte histoire d'amitié, de fraternité, où comment l'amour permet — oui oui, je sais, ça va faire nian nian ce que je vais dire mais... — vaincre de tout. L'amour, et pas la haine. Comme le prouve Callie en tendant la main aux étudiants de la confrérie plutôt qu'en les combattant. Le sacrifice aussi... A travers un thème d'urban-fantasy, Goodman nous traduit un combat qui pourrait être bien réel, un peu à la manière dont les démons de Buffy pouvaient apparaître comme des métaphores de la vraie vie. Ce livre, avec ses péripéties, ses essais, ses échecs, ses succès, est plein d'espoir, redonne confiance à la vie, à l'humanité... si seulement les êtres humains se serraient les coudes et choisissaient l'amour plutôt que la haine. Une jolie leçon de vie, au travers les feys, les succubes, les trolls et autres créatures. Le voyage dans le temps de Callie m'a un peu fait penser à Outlander (la série, je n'ai pas encore eu l'occasion de lire les livres), plus quant à l'époque dans laquelle elle arrive en Ecosse... même s'il y a tout ce pendant magique qui n'existe pas dans Outlander (à part pour ledit voyage dans le temps). Il y a également les fameuses interrogations inhérentes à la chose : comment est-ce que je peux être celle qui leur apprend ça alors qu'ils le connaissent déjà à mon époque et que je ne suis pas encore partie dans le passé ? Mais Goodman s'en sort encore une fois très bien. Pour conclure, je dirais que j'ai passé un excellent moment avec le dernier tome de cette trilogie ! J'ai peut-être eu un peu de mal à avancer dedans, mais ce n'était pas tant à cause du livre que d'autres obligations à côté ! Je ne crois pas que la trilogie ait été traduite, mais pour ceux et celles qui se débrouillent en anglais, je la conseille vivement aux amateurs d'urban-fantasy et de romance ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "The Choice" de Nicholas Sparks ! Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un roman qu'on m'a vivement conseillé... et qui appartient à une maison d'édition que j'aime beaucoup et qui m'a toujours bluffée ! Pas mal d'attentes pour ce roman, du coup, mais il s'en est trouvé à la hauteur !
Mon avis :
Encore une fois, j'ai eu un petit peu de mal avec le début... mais j'en viens à me dire que c'est dû au rythme plus soutenu avec lequel j'avale mes livres en ce moment... C'est assez dur de se détacher de l'univers du précédent pour s'immerger complètement dans le suivant alors que ça ne fait que quelques heures que l'autre a été achevé... Bref, j'ai du coup eu un peu de mal avec les descriptions, au début, qui m'ont parues un peu longuettes, mais ce n'était que le temps de m'habituer au style d'écriture de Marianne Stern. Une fois cela fait, et l'action commencée, je me suis fait avaler par le récit. Les personnages sont son point fort, je dirais. Il y en a une multitude, fidèles à l'univers steampunk et à celui développé par l'auteur. Mais, surtout, les protagonistes sont très bons (dans le sens "bien écrits", parce que leur bonté, c'est une autre paire de manches !). J'ai tout de suite succombé à Jeremiah, malgré son allure, son comportement, sa réputation. L'électricité entre lui et Viktoria est palpable et me donnerait presque des frissons à chaque fois qu'ils se confrontent l'un à l'autre, ou même simplement dans leurs discussions. Jeremiah est un personnage comme je les adore... et Maxwell n'est pas en reste non plus, puisqu'il incarne l'autre facette de mes préférences en matière de personnages. Comme Jeremiah le souligne si bien : les ténèbres et la lumière. Même si, comme le ying et le yang, il y a une touche de l'autre dans chaque. Au milieu de ça, Viktoria est souvent un peu paumée, déboussolée après avoir été arrachée au faste de la noblesse... et si c'était un peu prévisible, ça n'en reste pas moins rafraichissant quand, dans la plupart des romans du genre, les demoiselles me semblent toujours un peu trop enhardies par rapport à ce qu'on sait de cette époque... Ici, je trouve Viktoria bien plus naturelle que toutes les autres héroïnes du genre ! C'est un très bon point. L'univers est dépeint également d'une manière rafraichissante. On retrouve un soupçon de ce qui fait le steampunk habituellement, avec les robes, les boulots, les automates et l'essor/prépondérance des machines/usines au charbon... mais le fait que le récit se déroule en Allemagne donne une touche de fraicheur parmi tous les autres prenant place à Londres. Même si je n'ai pas compris tous les morceaux de dialogues et interjections en allemand (ouais, quand on grandit en Lorraine, on ne prend pas forcément allemand en première ou en seconde langue au collège/lycée, donc je ne comprends pas un mot ! xD), c'était agréable ! L'importante présence des zeppelins aussi plaisante, eux qu'on ne voit, au final, pas très souvent alors qu'ils font, à mon sens, partie intégrante du steampunk. Le smog, bien logique dans les récits du genre, apparaît pourtant comme sortant de l'ordinaire, lui qui est tellement peu présent dans les autres romans... alors qu'avec une industrie au charbon, il devrait également être prépondérant aussi dans les autres... Stern a développé un univers steampunk comme on les aime, mais avec des touches de nouveautés rafraichissantes malgré tout tout à fait logiques avec le genre. L'intrigue est très bien ficelée aussi, quant à elle. Des mystères, des secrets, des intrigues, des trahisons. Quelques rebondissements et dénouements m'ont semblé faciles ou prévisibles, mais d'un autre côté, ce n'était pas gênant non plus car, à mon sens, ce n'était pas dû à une paresse de l'auteure mais bien à l'immersion dans l'histoire et à la façon intime qu'on a de connaître les personnages après avoir suivi leurs péripéties. L'aventure nous tient en haleine jusqu'au bout, les scènes d'action et de combat, qu'ils soient aériens ou à l'épée, les courses-poursuites, nous mènent à un rythme effréné, surtout à la fin. "Smog of Germania" fut donc une très bonne lecture et je félicite encore une fois les Editions du Chat Noir ainsi que leurs auteurs pour cette petite merveille. Oh, et petite mention spéciale pour Charogne et Gadoue, que j'ai savourés comme un plaisir coupable. Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Dark Possession" de Carol Goodman ! Sur ce, je vous laisse à votre soirée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Comme je suis repassé à ma PAL papier, ça veut aussi dire un peu plus d'auteurs anglophones et de romans dans la langue de Shakespeare parce que bah... je n'aime plus les traductions depuis un moment ! J'ai souvent rencontré des erreurs, même dans les plus grandes ME... et on perd une partie du sens et de l'émotion à la traduction, malheureusement. C'est sans oublier que certaines ME nous lâchent sans aucune vergogne en plein milieu de nos séries favorites... alors pour palier à la chose, je les achète en VO... et en plus, ils sont moins chers. Désolé, mais mon porte-monnaie hurle sinon... Il aimerait bien se faire une piqûre de sérum "sac de Mary Poppins", mais il n'a pas encore été inventé, malheureusement.
Mon avis :
Cela faisait longtemps que j'avais lu les deux premiers tomes de la saga... Un peu près au moment de la sortie du film et parce que je m'étais rendue compte qui était l'auteure et que j'avais adoré sa saga Succubus... J'ai eu malgré tout un peu de mal à me mettre dans ce troisième tome, sûrement parce que l'histoire met en scène des adolescents et que dernièrement je lis des romans aux héros plus âgés... mais finalement je suis retombée dans l'addictivité induite par la plume de Richelle Mead. J'ai retrouvé la dynamique entre Rose et Lissa, qui fait le charme de cette saga, mais aussi toute la mythologie que Mead a créée autour, reprenant le mythe des vampires à sa sauce. J'ai aimé explorer cette nouvelle facette du lien entre elles deux, mais aussi l'apprentissage de Lissa de sa magie, ce que ça implique pour Rose d'être shadow-kissed. J'ai aimé la voir combattre aux côtés de Christian, suivre l'évolution de sa relation avec Dimitri... et j'avais les larmes aux yeux à la fin de ma lecture, à cause des émotions qui m'ont envahie à cause de ses péripéties. Si l'évolution des personnages est une facette des plus agréables du roman, l'intrigue n'en souffre pas, parce qu'il y a aussi complots et avancées politiques, des attaques et donc des scènes d'action, toujours finement rédigée par Mead. On devine une organisation plus présente au sein des créatures qu'ils affrontent, et que le danger qu'elles représentent va aller crescendo dans les prochains tomes, en plus des intrigues parallèles... et je dois dire que j'ai hâte de lire la suite. Ce qui est bien, en plus, c'est que Mead ne s'étale pas sur des séries de vingt tomes. Chacune d'entre elles dure le temps de 6 livres, suffisamment pour développer l'univers et les personnages, mais pas assez pour lasser. Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Smog of Germania" de Marianne Stern ! C'est lui qui a remporté presque toutes les voies lors du vote ! ^^ Sur ce, je vous laisse à votre soirée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Après l'avoir laissé trop longtemps dans ma PAL (je blâme l'ouverture du blog et la tonne de SP qui me sont tombés dessus...), je me suis enfin mis à la suite de Paradoxes, que j'avais acheté à Laure-Anne que j'avais rencontrée à Mon's Livre en novembre, puisqu'elle partageait le stand de ma très bonne amie Manon (ou plutôt l'inverse :P)... Je vous laisse donc avec ma chronique !
Mon avis :
J'avais lu le premier tome après Mon's Livre et j'ai un peu tardé à lire celui-ci, mais c'est enfin chose faite et j'ai encore une fois passé un très agréable moment entre les pages écrites par Laure-Anne. Elle a une plume qui ne s'encombre pas de fioritures inutiles. Il y a juste assez de descriptions pour qu'on puisse s'imaginer les personnages, le monde futuriste dans lequel ils évoluent et c'est une chose que j'apprécie de plus en plus dans mes lectures ! Même si, je l'avoue, je n'ai jamais été très fan des énormes paragraphes de descriptions à la Tolkien ou à la Martin (ne me jetez pas de pierres, s'il vous plait). Que dire de plus sur ce tome 2 ? Les personnages y gagnent en profondeur et en mystère. Ceux qui sont intégrés dans ce tome sont aussi intrigants que ceux que l'on suit depuis le premier livre. Ils apportent leur pierre à l'édifice et j'ai hâte de savoir réellement de quelle manière dans le prochain opus. J'avoue, j'ai un faible pour les êtres démoniaques qui aident Nytayah, mais bon, c'est pas nouveau, j'ai souvent aimé les "méchants" ou les antihéros plus que les gentils et les héros ! J'ai un peu trop craqué sur Echo et Pahad Laylâ, pardon. L'univers et la mythologie créés par l'auteure ne sont pas en reste non plus. Ils s'étoffent tous les deux de nombreux participants, races, mais aussi d'énigmes, d'objectifs, de prophéties. Peu à peu, Laure-Anne nous avale dans un tourbillon de questions comme je les aime ! Oh et puis des dragons ! J'aime les dragons ! Sinon, je dirais que j'ai été un peu déstabilisé par le retour en arrière au début du roman, mais il était nécessaire pour l'intrigue de ce tome, donc finalement, tout va bien ! Il y a aussi quelques coquilles, mais pour une autoédition, c'est bien peu face à ce qu'on trouve dans d'autres ouvrages ! J'ai vraiment hâte d'avoir le tome 3. Laure-Anne, il sort quand ? Promis, cette fois, je ne mettrais pas autant de temps à le lire. Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Shadow Kiss" de Richelle Mead ! N'hésitez pas à vous rendre sur la page FB du blog pour voter pour le prochain livre que vous aimeriez que je lise !! Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour ! Je suis désolé pour ce petit contre-temps ! J'ai fini de lire "La Floraison" ce week-end, mais comme j'étais de passage chez mes parents, et les deux jours qui ont suivi ont été assez mouvementés au boulot, je n'ai pas eu le temps de me poser pour rédiger ma chronique... mais la voilà ! Et en plus, pour un roman que j'ai adoré !!
Mon avis :
Ma première réaction quand j'ai commencé le roman fut de me dire : "Wouah, c'est écrit tout petit et les chapitres sont suuuuuuper longs !"... puis, au final, je me suis fait avaler par l'histoire et la taille de la police et des chapitres a été relégué en second plan. J'ai beaucoup aimé la première partie du roman, la première moitié, dans laquelle on découvre Rose, sa famille, le contexte qu'il y a tout autour d'elle. On retrouve avec cohérence l'envie et le besoin de ses parents à la marier, avec l'habituelle demoiselle qui ne veut rien y entendre. J'avoue que j'ai été très vite agacé et irrité par le comportement de Lady Mary. A chaque fois qu'elle apparaissait dans une scène, j'avais envie de la baffer... mais, visiblement, un certain traumatisme l'a bouleversée. Elle semblait aller encore bien dans le prologue, bien que déjà assez agaçante, du coup, je me suis demandée quand ça avait bien pu arriver, en plus de devoir quitter son pays d'origine... mais je n'ai pas eu la réponse à cette question dans le premier tome... Peut-être dans la suite ? Si ce n'est pas le cas, je trouve que ça aurait été dommage d'en faire un personnage aussi antipathique, de lui attribuer un traumatisme, et de ne pas l'expliquer un peu plus... J'ai aimé suivre Rose dans ses manigances pour faire échouer la dernière tentative de son père à la marier, sa relation avec Charlotte mais aussi avec la petite Lucie. Découvrir Artus à travers ses yeux était également intéressant... jusqu'au moment où ils retournent au manoir de ce dernier. Là, pour le coup, je me range carrément de l'avis d'Adelphe (le frère d'Artus) : Tu peux pas la larguer comme ça sans rien lui dire de sa nouvelle condition ! Oui, parce que bon, même s'il y a quelques modifications du genre (c'est pas moi qui vais blâmer la chose !), cela reste assez prévisible de la réelle nature du Comte, même sans avoir vu les thèmes cités sur Booknode. Du coup, on est plus impatient de savoir comment Rose va découvrir la chose que de découvrir la chose en elle-même, puisqu'on s'en doute déjà très fortement. J'ai d'ailleurs apprécié cette partie, puisqu'elle ne se comporte pas comme toutes les autres héroïnes l'auraient fait à sa place. J'aime qu'on ait eu une vision de sa rage, de ce qu'elle est capable de faire dans ces cas-là. L'intrigue est addictive et nous tient en haleine. On sent bien que l'histoire des meurtres dans la capitale est importante, mais comme le point de vue est globalement celui de Rose et qu'elle n'y a réellement accès que très tard, on ne peut que rester sur notre faim. Cette histoire commence à se dénouer sur la fin du tome, avec, GRANDS DIEUX, un guerrier jaguar aztèque ! Je n'osais en croire mes yeux ! S'il fallait quelque chose pour finir de me séduire complètement, l'auteure l'a trouvée !! Toujours est-il que ce premier tome fut une délicieuse introduction au monde créé, mélangé au nôtre, de Céline... et j'ai hâte de découvrir le mystère entourant cette nouvelle famille, cette prophétie, et tout le reste à travers les tomes suivants ! Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "Destins" de Laure-Anne Braun ! Il est dans ma PAL depuis novembre 2016, quand j'ai rencontré Laure-Anne à Mons, j'ai honte de pas l'avoir lu plus tôt... Je blâme l'ouverture du blog et l'avalanche de SP !! Sur ce, je vous laisse à votre journée =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ Bonjour tout le monde ! Aujourd'hui ce qui sera mon dernier SP pour un certain temps... peut-être jusqu'à la rentrée (septembre quoi, moi je ne suis plus à l'école depuis longtemps maintenant alors), le temps de faire baisser un peu ma PAL qui a pâti de l'ouverture du blog et de la profusion de SP (cf page d'accueil) !
Mon avis :
Je dois avouer avoir eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, mais c'était plus dû au fait que j'avais particulièrement aimé ma lecture précédente qu'au récit lui-même. J'ai au contraire apprécié le prologue, qui nous plonge dans une ambiance angoissante, inquiétante, mais pourtant pas gore ou trop explicite. Le mystère reste entier, si ce n'est qu'on sait que la demoiselle — et il n'est pas bien compliqué de comprendre qu'elle sera la fameuse faucheuse promise par le résumé et la couverture — se fait torturer et mutiler avec une application méthodique. La première partie suivant les enquêteurs s'occupant — du moins au début — de l'affaire a également été rondement menée, à mon avis. Les deux inspecteurs, Harvey et Sullivan, forment un duo efficace, tant dans l'histoire que sur le papier. On retrouve le vieux flic bourru et le bleu qui en paie un peu les pots cassés et on découvre le grand coeur derrière la peau de l'ours mal léché, schéma habituel dans de nombreux récits du genre... mais ce "stéréotype" ne m'a pas gêné parce qu'il marche bien ici. Ils sont certainement les personnages que j'ai le plus apprécié dans tout le roman ! La seconde partie a été un peu moins à mon goût. C'est certainement à cause de l'héroïne elle-même, Ambre, qui si je respecte tout à fait cette espèce de naïveté qui la caractérise, ce dégoût qu'elle a à être Faucheuse, m'a vite exaspérée. J'ai eu envie de lui dire plusieurs fois que si elle ne voulait pas faucher des âmes, et bien elle n'avait pas à accepter le contrat qu'on lui avait proposé à sa mort... mais c'est là qu'apparaît vraiment toute l'intrigue en vérité : le contrat qu'elle a signé pour devenir faucheuse. On découvre qu'il y a sûrement eu un soucis dans sa rédaction, dans les termes proposés par Orius, son supérieur... mais lesquels? C'est ce qui m'a fait tenir jusqu'à la troisième partie... Ça et la possibilité de savoir enfin qui se cache derrière le meurtre d'Ambre. Je reste persuadé, à ce stade, qu'il est le fait d'un personnage qu'on a déjà rencontré... Est-ce le cas, seule ma lecture me le dira. Troisième partie dans laquelle on découvre les raisons des envies de vengeance de chacun. Elle mêle donc la plupart des protagonistes et j'y ai retrouvé ce qui me plaisait dans la première partie. Ambre également y est plus agréable, puisque focalisée sur sa vengeance et non pas ses regrets par rapport au choix qu'elle a fait de devenir Faucheuse. Tout s'emboite alors finalement et on obtient les réponses aux questions que l'on se posait. Je me suis trompée sur l'une de mes suppositions, mais ce n'est pas bien grave. La fin, si assez simple au final, avec des choses auxquelles on s'attendait, est malgré tout émouvante et m'a tiré quelques larmes, ce qui est un bon point (oui, j'aime pleurer quand je lis, ou regarde la TV, ou au cinéma... *dit le petit Dragon qui a pleuré pendant deux heures devant Okja et vingt bonnes minutes à la fin de l'épisode de Doctor Who*) ! Je pense que ce qui dessert le plus au roman cependant n'est pas au niveau du fond, mais de la forme : il y avait beaucoup de fautes d'accord entre les participes passés et l'auxiliaire "avoir", notamment beaucoup de féminin qui manquaient... et pas spécialement dans des cas où il était difficile de savoir s'il fallait accorder ou pas. Quelques oublis de correction ici et là ne me dérangent pas, mais passée la moitié du récit, ils ont commencé à être trop nombreux pour ne pas me faire tiquer... C'est dommage ! "A ma vie, à ta mort" reste néanmoins un agréable roman, qui perd juste un ♦ pour les fautes... Le prochain livre à faire l'objet d'un avis sera "La Floraison" de Céline Landressie ! Il est celui qui a récolté le plus de votes sur la page FB ! Sur ce, je vous laisse à votre après-midi =] Mangez des bonbons, ça sauve des dragons ** Bertie ~ |
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Novembre 2018
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